(Page créée avec « {{avertissement}} {{vidéo|numérovidéo = <videoflash type="dailymotion">xgsde9?width</videoflash>}} =='''Présentation de l'expérience'''== Comment les grues de chantier… ») |
|||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{avertissement}} | {{avertissement}} | ||
- | |||
+ | {{vidéo|numérovidéo = <videoflash type="mediaspip" num="1">|400|300</videoflash>}} | ||
=='''Présentation de l'expérience'''== | =='''Présentation de l'expérience'''== | ||
Ligne 64 : | Ligne 64 : | ||
Penser à fixer les disciplines scientifiques qui correspondent à l'expérience. Remplacer "à classer" par la discipline correspondante. | Penser à fixer les disciplines scientifiques qui correspondent à l'expérience. Remplacer "à classer" par la discipline correspondante. | ||
- | |||
[[Catégorie:à classer]] | [[Catégorie:à classer]] | ||
[[Catégorie:Vidéo à réaliser]] | [[Catégorie:Vidéo à réaliser]] |
Sommaire |
Comment les grues de chantiers soulèvent-elles des charges lourdes aussi facilement ?
Le palan est un mécanisme de levage constitué de deux parties (moufles), l'une fixe et l'autre mobile.
Il nous faut donc un point de suspension où sera accrochée la partie fixe; ce point est, ici, fourni par un chevalet mais le plafond ou un autre support peut faire l’affaire. Au sommet du chevalet, on place la première partie, c’est-à-dire deux poulies enfilées côté à côte sur un axe horizontal fixé au point d’accrochage. Notre deuxième partie est constituée d'une poulie traversée par un axe auquel sera suspendue la charge à soulever. Cette partie sera donc mobile. Il faut ensuite relier solidement le fil à l’axe du moufle mobile et faire passer ce fil dans les différentes poulies, en commençant par celle (sur le moufle fixe) opposée à son point d’attache ; puis on redescend s’enrouler sur la poulie du moufle mobile pour remonter ensuite par-dessus la deuxième poulie du moufle fixe. Ici notre palan comporte trois poulies, une en bas, deux en haut. Il existe des palans ayant un nombre de poulies bien plus élevé. Nous avons trois « brins » de fil entre nos deux parties, ce qui équivaut au nombre total de poulies. La figure formée par ces brins est appelée le mouflage. On accroche la charge de 500 gr à la partie mobile du palan et celle de 300 gr à l'autre bout du fil.
Le poids de 300 gr chute lentement et soulève celui de 500gr. Par contre, la distance parcourue par les deux charges n'est pas la même. Le poids de 500 gr parcourt une distance trois fois moins grande.
Pour lever une charge, il nous faut exercer une force supérieure au poids que l'on veut soulever. Le palan est un mécanisme qui permet de démultiplier cette force afin de soulever plus facilement des charges lourde. La démultiplication correspond au nombre de brins — donc au nombre total de poulies (fixe et mobiles) pour un palan. Par exemple, dans un mouflage à trois brins, la tension du fil est de l'ordre du tiers de la charge à lever (aux effets géométriques et dynamiques près) et la longueur de fil enroulée est de l'ordre de trois fois la course de levage. Ce que l'on gagne en force, on le perd en distance et donc en temps.
Ici je mets les questions soulevées par l'expérience, qui n'ont pas trouvé de réponses !!
http://fr.wikipedia.org/wiki/Poulie
Indiquer ici les expériences de Wikidébrouillard.
Autres expériences avec le même concept, recherche sur internet (indiquer les liens).
C'est de la culture, ça aide à comprendre le monde !! N'hésitez pas à lancer la discussion de votre fiche (après l'avoir sauvegarder !) afin de trouver de l'aide pour la compléter
Indiquer ici des lieux où tout le matériel nécessaire pour réaliser cette expérience est disponible.
Penser à fixer les disciplines scientifiques qui correspondent à l'expérience. Remplacer "à classer" par la discipline correspondante.
© Graphisme : Les Petits Débrouillards Grand Ouest (Patrice Guinche - Jessica Romero) | Développement web : Libre Informatique